14


Commandez-le
Numéro
06 Paris 2024, expositions, jeux olympiques, sport, mode

16 expositions sur le sport à découvrir en attendant les Jeux Olympiques 2024

Exposition

Découvrez 16 expositions sur le sport, vu à travers l'angle de la mode, du design, de la photographie et de l'architecture, à découvrir absolument à Paris en attendant les Jeux Olympiques 2024.

  • Maxime Rossi, "Terre,air,feu" (2024) © Métropole Grand Paris.

  • Rachid Ouramdane, "Les Traceurs" (2024) © @aa.man__nef.

  • Vue de l’exposition "Vieilles coques & jeunes récifs" aux Réserves © Martin Argyroglo.

1/3

La Métropolitaine renoue avec le Grand Paris 

 

Si Paris accueille les institutions culturelles parmi les plus prestigieuses de France, de nombreux lieux d'exposition et incubateurs de la création artistique se trouvent également de l'autre côté de ses frontières, dans plusieurs villes de la région. Un vivier moins connu que la Métropolitaine, nouvelle biennale d'art contemporain entend valoriser avec sa toute première édition, tenue jusqu’au 15 septembre 2024. 

 

À travers ce nouveau projet initié par le Grand Paris, 13 lieux emblématiques tels que le MAC VAL à Vitry-sur-Seine, le Hangar Y à Meudon, la MABA de Nogent-sur-Marne ou encore les Réserves du Frac Île-de-France à Romainville, sont ainsi regroupés au sein d’une programmation qui redéfinit la cartographie de l’art contemporain. Des expositions aux rencontres en passant par les tables rondes et les ateliers pour enfants, leurs propositions pour l'été abordent des thématiques directement liées à l'actualité des Jeux Olympiques : le corps et son endurance, la place de la technologie dans le sport, le quotidien des athlètes ou encore l'impact des Jeux sur leur environnement. 

 

Parmi elle, le Crédac, centre d'art pointu créé en 1987 à Ivry-sur-Seine, accueille pour l’occasion l’artiste française Julia Borderie. Avec la complicité des joueurs de l’Union Sportive Basket de la commune, cette dernière s’amuse à réinventer les règles du basketball en déposant ses sculptures sur un terrain de la ville, créant ainsi une performance qu'elle filme. D'autres institutions liées à la Métropolitaine tissent des ponts explicites entre leur programmation et leur domaine : on en veut pour preuve le Musée national de la céramique et la Manufacture de porcelaine de Sèvres, qui créent une rencontre inattendue entre la céramique et le sport. Une exposition qui permet de découvrir des œuvres uniques, à l’image de trophées conçus par des étudiants des Beaux-arts de Paris, et qui seront remis aux athlètes lauréats des médailles d’or à l'issue des jeux.

 

Autre événement attendu de cette programmation éclecltique : la déambulation d’une montgolfière de lieu en lieu, en écho à celle qui avait survolé la capitale lors des Jeux Olympiques de 1924. Un siècle plus tard, celle-ci s'inscrit dans un opéra sensoriel en quatre actes, Terre, air, feu, imaginé par l’artiste pluridisciplinaire Maxime Rossi. Croisant le sport et l’art, cette expérimentation inédite et surprenante continuera de tisser des ponts entre les deux mondes.

 

La Métropolitaine jusqu'au 15 septembre 2024 dans 13 lieux d'art contemporain du Grand Paris.

  • "Les Sports modernes", Paris-illustré (1906-01-01) © BnF.

  • "Le Miroir des sports" : publication hebdomadaire illustrée (12/04/1923) © BnF.

  • Mary Lines au saut en longueur pendant les olympiades féminines à Monte-Carlo © BnF.

  • Stade Elisabeth, arrivée du 80 m France-Suisse lors de la fête de Fémina Sport © BnF.

  • Stade Elisabeth, championnat de France de football féminin, Fémina contre Dunlop Sport © BnF.

  • Mme Hellé-Nice, journée féminine, championnat féminin de course automobile à Montlhéry © BnF.

  • Entraînement de Melle Violette Moriss avec un sparing partner © BnF.

  • Mourmelon : Melle Hélène Dutrieu dans son avion (1911) © BnF.

  • Stade Elisabeth, Mme Violette Gouraud-Morris au lancer de javelot © BnF.

  • Stade Elisabeth, football féminin, équipe des Sportives de Paris avec la Coupe la Française © BnF.

  • "Le Petit journal illustré" (18/11/1923) © BnF.

  • "Regards" (1936) © BnF.

  • Affiche de la 3e olympiade ouvrière d’Anvers (1937) © Archives nationales du monde du travail (Roubaix).

  • "La Fête nationale de la Sportive" (Dimanche 5 juillet 1942) © Ville de Paris / Bibliothèque historique.

1/14

La BnF rend hommage au sport féminin  

 

En plus de ce que l’on sait déjà sur les Jeux Olympiques 2024 et des attentes que l’événement engendre, il faut malgré tout relever un point essentiel et peu mentionné : les J.O. afficheront une parité absolue, jamais enregistrée à ce jour.

 

Mettant à l’étude plus de 250 documents tout droits sortis de ses collections, la Bibliothèque nationale de France retrace le parcours du sport féminin en France depuis la fin du 19e siècle jusqu’à aujourd’hui. Composée de divers articles, photographies, affiches, dessins, couvertures de magazines et de livres, l’exposition met en lumière le combat des femmes et de leur ascension avant d’accéder au même statut que les hommes au sein du milieu sportif. 

 

Du récit de grandes pionnières comme la joueuse de tennis Suzanne Lenglen (1899-1938) à l’évocation de la renaissance du sport féminin dans les années 1950, l’histoire racontée ici n’est que le reflet des conditions des Françaises et des enjeux qui infusent la société d’hier comme d'aujourd’hui. 

 

Le parcours se termine notamment sur la question du mouvement #MeToo, la libération de la parole et ses conséquences, et pointe les inégalités qui demeurent, dans un monde où les hommes ont défini tous les codes. 

 

“À nous les stades ! Une histoire du sport au féminin”, exposition du 22 mai 2024 au 13 octobre à la BnF, Paris 13e.

  • Jean-Baptiste Carpeaux, "Les Trois Grâces" (1874) © Paris Musées / Petit Palais.

  • Euphronios et Onesimos, "Coupe (kylix)" (vers -490) © Paris Musées / Petit Palais.

  • Campanie, "Statuette de discobole" (vers -490) © Paris Musées / Petit Palais.

  • Rembrandt Harmenszoon van Rijn, "Académie d’un homme assis à terre" (1646) © Paris Musées / Petit Palais.

  • Alexandre Falguière, "Les Lutteurs" (vers 1875) © Paris Musées / Petit Palais.

  • Edgar Chahine, "Danseuse de corde" (1906) © Paris Musées / Petit Palais.

  • Edgar Chahine, "Double prise de tête par terre" (1904) © Paris Musées / Petit Palais.

  • Raoul Larche, "La Tempête et ses nuées" (1899) © Paris Musées / Petit Palais.

  • François-Rupert Carabin, "La Belle Otéro" (entre 1898 et 1900) © Paris Musées / Petit Palais.

  • Maurice Charpentier-Mio, "Croquis de gestes dansés d’Isadora Duncan" (1911) © Paris Musées / Petit Palais.

  • Augustin Rouart, "Le Nageur" (1943) © Paris Musées / Petit Palais.

  • Émile Bracquemond et Octave Guillonnet, "Vase" (1924) © Paris Musées / Petit Palais.

  • Léon-François Comerre, "Bicyclette au Vésinet" (1903) © Paris Musées / Petit Palais.

  • Jacques-Émile Blanche, "Mademoiselle Meuriot sur son poney" (1889) © Paris Musées / Petit Palais.

  • Serge Youriévitch, "La Danseuse Sacha Lyo" (1932-1933) © Paris Musées / Petit Palais.

  • Louis Gossin, "Le Dénicheur d’aigles" (1890) © Paris Musées / Petit Palais.

  • Jacques Perrin, "Le Botteleur" (1886) © Paris Musées / Petit Palais.

  • Georges Bareau, "Diane chasseresse" (1898) © Paris Musées / Petit Palais.

  • Aziza Benhami, para-tir à l’arc et "La Belle Otéro" (entre 1898 et 1900) de François-Rupert Carabin © Paris Musées / Petit Palais / Laurent Julliand.

  • Dimitri Jozwicki, para-athlétisme (100m) et "Académie d’un homme assis à terre" (1646) de Rembrandt © Paris Musées / Petit Palais / Laurent Julliand.

  • Charline Picon, voile et deux vases (1924) d’Émile Bracquemond et Octave Guillonnet © Paris Musées / Petit Palais / Laurent Julliand.

  • Gaëtan Charlot, para-escrime et "Le Botteleur" (1886) de Jacques Perrin © Paris Musées / Petit Palais / Laurent Julliand.

  • Jade Marechal, escrime et "Danseuse de corde" (1906) d’Edgar Chahine © Paris Musées / Petit Palais / Laurent Julliand.

  • Léopold Cavalière, basket 3×3 et "Le Botteleur" (1886) de Jacques Perrin © Paris Musées / Petit Palais / Laurent Julliand.

  • Marilou Maurel, para-badminton et "La tempête et ses nuées" (1899) de Raoul Larche © Paris Musées / Petit Palais / Laurent Julliand.

  • Mathieu Thomas, para-badminton et "La Danseuse Sacha Lyo" (1932-1933) de Serge Youriévitch © Paris Musées / Petit Palais / Laurent Julliand.

  • Romain Valadier, judo et "Le Dénicheur d’aigle" (1890) de Louis Gossin © Paris Musées / Petit Palais / Laurent Julliand.

1/27

Un dialogue émouvant unit les athlètes et l’art au Petit Palais 

 

Afin d’apporter sa pierre à l’édifice à l’occasion de Paris 2024, le Petit Palais organise une exposition des plus étonnantes, mettant en parallèle une cinquantaine d’œuvres avec des vidéos d’athlètes et de para-athlètes français. Ainsi, douze sportifs de haut niveau choisissent-ils une sculpture, un croquis ou un vase qui leur est cher, racontant chacun leur signification particulière au cœur de sa pratique ou de sa vie. 

 

Des amphores antiques sur lesquelles on représentait le lancer de javelot à des vases de Bracquemont qui, en 1924, servaient de récompenses aux sportifs, en passant par des œuvres mettant à l’honneur le corps en mouvement telles que la sculpture les Trois Grâces (1872) de Jean-Baptiste Carpeaux ou encore Le Dénicheur d’aigle (1890) de Louis Gaussin, le parcours invite à (re)découvrir une histoire du sport plurielle et subjective. 

 

Grâce aux portraits et aux confidences des athlètes parmi lesquels on trouve Aziza Benhami, Léopold Cavalière et Charline Picon, le musée poursuit à sa façon le grand projet de l’Olympiade culturelle, et permet une redécouverte de sa collection permanente sous le prisme des J.O.

 

“Le Corps en mouvement”, exposition jusqu’au 17 novembre 2024 au Petit Palais, Paris 8e. 

  • Ari Marcopoulos, "Harold Hunter" (1995). Courtesy de l’artiste et de la galerie frank elbaz, Paris.

  • Isa Genzken, "Mona Isa X (Gold)" (2010) © Paris Musées / Musée d’Art Moderne de Paris.

  • Martin Barré, "67-F-9" (1967) © Paris Musées / Musée d’Art Moderne de Paris.

  • Ari Marcopoulos, "Across from Burger King" (1993). Courtesy de l’artiste et de la galerie frank elbaz, Paris.

  • Ari Marcopoulos, "Earl and Sage" (2018). Courtesy de l’artiste et de la galerie frank elbaz, Paris.

  • Ari Marcopoulos, "Brown Bag" (1994/2020) © Paris Musées / Musée d’Art Moderne de Paris.

  • Ari Marcopoulos, "Earl and Sage" (2018). Courtesy de l’artiste et de la galerie frank elbaz, Paris.

  • Ari Marcopoulos, "Brown Bag" (1994/2020) © Paris Musées / Musée d’Art Moderne de Paris.

  • Ari Marcopoulos, "Smith Grind" (1995) © Ari Marcopoulos, Courtesy de l’artiste et galerie frank elbaz, Paris.

1/9

Avec Ari Marcopoulos, le skateboard s'invite au musée d’Art moderne de Paris

 

Comme toute grande institution, le musée d'Art moderne de Paris (MAM) réfléchit constamment à de nouveaux angles pour faire (re)découvrir son immense collection, riche de plus de 15000 œuvres. L'actualité des J.O. lui offrait alors une opportunité idéale : du printemps à la fin de cet été, l'institution parisienne orchestre dans ses salles permanentes un “Parcours Art et Sport”, guidant le visiteur vers certains de ses chefs-d'œuvre centrés sur le corps en mouvement, telles des toiles signées Robert Delaunay, Raoul Dufy, Katherine Gradford, et bien sûr le fameux triptyque La Danse (1930-1933) de Matisse.

 

Mais cette actualité internationale permet aussi à l'institution parisienne de développer un projet d'art contemporain inédit, en donnant carte blanche au photographe et cinéaste new-yorkais Ari Marcopoulos. Dans une installation conçue sur-mesure depuis le 5 avril, ce passionné des cultures underground dévoile notamment au public pour la première fois Brown Bag, son court métrage tourné au super-8 en 1993, qu'il a redécouvert et remonté ces dernières années. 

 

Acquise par le musée parisien en 2021, la vidéo suit une communauté de skateurs dans les rues de New York, rendant un bel hommage à une discipline longtemps associée à la contre-culture, qui a désormais rejoint la liste émérite des épreuves officielles des Jeux. Outre cette actualité, le skateboard entretient un lien tout particulier avec le bâtiment du MAM : depuis une trentaine d'années, l'espace ouvert qui sépare le musée d'Art moderne du Palais de Tokyo, baptisé le “Dôme”, est devenu un lieu incontournable pour les skateurs souhaitant s'exercer autour du bassin central, et à quelques mètres des rives de la Seine.

 

En parallèle de la projection, l’institution invite également Ari Marcopoulos à présenter certaines de ses photographies aux côtés de grands classiques de sa collection permanente lui même sélectionnés selon ses goûts, qui s'étendent de Giorgio de Chirico à Annette Messager en passant par Brassaï. Un dialogue savamment orchestré par l'artiste américain, aujourd'hui âgé de 67 ans : “J’ai cherché des thèmes liés au corps, aux blessures et à l'architecture, ainsi que des œuvres que je considérais comme difficiles et déroutantes” s’est-il exprimé à propos de l'installation dans un communiqué officiel. 


 

“La vie moderne. Parcours Art et Sport” et “Beware. Carte blanche à Ari Marcopoulos”, expositions jusqu’au 25 août 2024 au musée d’Art moderne de Paris, Paris 16e.

  • Thomas Eakins, "Between Rounds" (1898-1899). © Philadelphie, Philadelphia Museum of Art.

  • Edgar Degas, "Course de gentlemen, Avant le départ" (1862). © RMN-Grand Palais (musée d’Orsay) - Adrien Didierjean.

  • Thomas Eakins, "The Biglin Brothers Racing" (1872). © Washington, National Gallery of Art.

  • Alfred Sisley, "Les régates à Molesey" (1874). © RMN-Grand Palais (musée d’Orsay) - Hervé Lewandowski.

  • Ferdinand Gueldry, "Match annuel entre la Société Nautique de la Marne et le Rowing Club" (1883). © musée intercommunal de Nogent-sur-Marne.

  • Frits Thaulow, "Hiver en Norvège" (1886). © RMN-Grand Palais (musée d’Orsay) - Hervé Lewandowski.

  • Alcide-Théophile Robaudi, "La leçon d’escrime" (1887). © Private Collection of Knupp Gallery, Prague.

  • Claude Monet, "Les Patineurs à Giverny" (1899). © Hasso Planer Collection.

  • Emile Friant, "La Lutte" (1899). © Musée Fabre de Montpellier Méditerranée Métropole - photographie Frédéric Jaulmes.

  • Paul Signac, "Vélodrome Buffallo" (1899) © Droits réservés.

  • Maurice Denis, "Nausicaa, jeu de balle" (1913). © Musée national du Sport.

  • Robert Delaunay, "Les Coureurs" (vers 1924-1926). © BPK, Berlin, Dist. RMN-Grand Palais - image Staatsgalerie Stuttgart.

  • Henri de Toulouse-Lautrec, "La Chaîne Simpson" (1896). © Musée national du Sport.

  • Clémentine-Hélène Dufau, "Partie de pelote basque" (1903). © Paris, Bibliothèque historique de la Ville de Paris, 1-AFF-002456.

  • Jules Abel Faivre, "Sports d’hiver, Chamonix (Mont-Blanc)" (1905). © Musée national du Sport.

1/15

L'obsession des peintres impressionnistes pour le sport au musée Marmottan Monet 

 

Passant d’une activité pratiquée dans les cercles bourgeois très privés à un loisir de plus en plus accessible à tous, le sport est rapidement devenu un symbole de modernité, relayé par de nombreux peintres français de l’époque. Un tournant sur lequel s'attarde la nouvelle exposition du musée parisien Marmottant Monet, dédié à l'art de la seconde moitié du 19e siècle et notamment à l'impressionnisme.

 

À cette période, des artistes phares du mouvement pictural tels que Claude Monet, Alfred Sisley ou encore Edgar Degas assistent assidûment aux courses hippiques comme aux combats d’escrime, qu'ils se plaisent ensuite à représenter sur la toile. D'autres, comme Maurice Denis, Robert Delaunay ou encore André Lhote peindront quant à eux des pratiques en vogue plus tardivement, notamment le cyclisme et les sports collectifs, de l'aviron au rugby.

 

Présent tout au long du parcours, qui réunit près de 160 œuvres, le thème des lutteurs est quant à lui particulièrement chéri de tous, probablement pour le travail qu’il permet sur les corps. Dévoilant une évolution des mentalités concernant le sport et ses usages, l’exposition s'enrichit d'extraits de la presse illustrée de l'époque, où l’on commence à faire l'apologie des athlètes et promouvoir les corps sculptés par l'activité physique.

 

“En jeu ! Les artistes et le sport (1870-1930)”, exposition jusqu’au 1er septembre 2024 au musée Marmottan Monet, Paris 16e.

  • Vue intérieure du gymnase n° 1 de Yoyogi en cours de construction, 1964 © Kochi Prefecture, Ishimoto Yasuhiro Photo Center.

  • Le Gymnase de Yoyogi et le Stade national, 2023 © G.Y.S.C. - Mikiya Takimoto.

  • Toiture du gymnase n° 1 de Yoyogi en cours de construction, 1964 © Kochi Prefecture, Ishimoto Yasuhiro Photo Center.

  • Vue extérieure du gymnase n° 1 de Yoyogi en cours de construction, 1964 © Kochi Prefecture, Ishimoto Yasuhiro Photo Center.

  • Vue extérieure du gymnase n° 1 de Yoyogi en cours de construction, 1964 © Kochi Prefecture, Ishimoto Yasuhiro Photo Center.

  • Vue d’ensemble de la toiture du Stade national, 2023 © G.Y.S.C. - Mikiya Takimoto.

  • Toiture vue des tribunes du Stade national, 2023 © G.Y.S.C. - Mikiya Takimoto.

  • Villa impériale de Katsura, vue du côté est du nouveau palais (shin-goten) et de sa pelouse, 1953-1954 © Kochi Prefecture, Ishimoto Yasuhiro Photo Center.

  • Résidence personnelle de Kenzô Tange, 1953-1954 © Kochi Prefecture, Ishimoto Yasuhiro Photo Center.

  • Cathédrale Sainte-Marie de Tokyo, 1964 © Kochi Prefecture, Ishimoto Yasuhiro Photo Center.

  • Vue extérieure de la gare Saint-Denis Pleyel, 2015 © Kengo Kuma & Associates.

1/11

Kenzô Tange et Kengo Kuma, deux immenses architectes des JO de Tokyo célébrés à la MCJP

 

Si Paris accueille cet été les Jeux Olympiques pour la troisième fois de son histoire (après 1900 et 1924), une autre grande métropole mondiale en fut plusieurs fois l'hôtesse : Tokyo, en 1964 puis en 2021. C'est cette histoire qu'a choisi de raconter la maison de la culture du Japon à Paris (MCJP), en faisant dialoguer jusqu'à la fin juin deux acteurs majeurs de ces événements, les immenses architectes japonais Kenzô Tange (1913-2005) et Kengo Kuma (né en 1954).
 

Dans une exposition présentant un large panel de maquettes et de photographies retraçant les étapes de leurs projets respectifs, le musée met face à face ces deux créations : le Gymnase national de Yoyogi par Kenzô Tange en 1964, et le Stade national par Kengo Kuma en 2021. En découvrant les pratiques et les influences de ces deux figures passionnantes, on se plonge ainsi dans deux époques bien distinctes mais aussi, plus globalement, dans l'histoire de l’architecture nipponne et son patrimoine, dont chacun de ces deux créateurs s'est inspiré à sa manière.


Comme dans la plupart de ses projets, la MCJP profite de l'événement pour mettre en avant les liens unissant ces deux Japonais et la France. On y découvre par exemple des lettres échangées entre Le Corbusier et Kenzô Tange, ou encore les coulisses du nouveau musée départemental Albert-Kahn de Boulogne-Billancourt, bâtiment signé par Kengo Kuma et inauguré en 2022. 

 

“Kenzô Tange - Kengo Kuma, architectes des Jeux de Tokyo”, exposition jusqu’au 29 juin 2024 à la maison de la culture du Japon à Paris, Paris 15e. 

  • Vue de l’exposition “La Malle Courrier - Louis Vuitton et le Sport”.

  • Vue de l’exposition “La Malle Courrier - Louis Vuitton et le Sport”.

  • Vue de l’exposition “La Malle Courrier - Louis Vuitton et le Sport”.

  • Vue de l’exposition “La Malle Courrier - Louis Vuitton et le Sport”.

  • Vue de l’exposition “La Malle Courrier - Louis Vuitton et le Sport”.

  • Vue de l’exposition “La Malle Courrier - Louis Vuitton et le Sport”.

  • Vue de l’exposition “La Malle Courrier - Louis Vuitton et le Sport”.

1/7

Louis Vuitton expose ses malles au sein de sa maison de famille

 

En tant que maison très engagée dans l’univers du sport et au vu des Jeux Olympiques et Paralympiques à venir, Louis Vuitton dévoile au sein de ses ateliers d’Asnières-sur-Seine 21 malles datant de 1865 à aujourd’hui, inspirées par l'emblématique malle Courrier, créée en 1858.

 

Qu’ils soient tagués, fluorescents et même parés de couleurs acides ou de la célèbre toile Monogram, ces luxueux coffres magnifiquement mis en scène entourés de multiples miroirs constituent un bel hommage à l’histoire de la maison française et à son savoir-faire.

 

Élaborée en référence au sport, l’exposition présente de petits objets issus des archives de la maison comme une housse de raquette de tennis datant de 1979 ou un sac de boule de bowling récemment imaginé par Pharrell Williams ainsi que des malles spécifiques ayant marquées les collections notamment la malle Pickleball de Virgil Abloh (2021) et une malle faite par Kim Jones en collaboration avec le label Suprême, lors du défilé homme automne-hiver 2017-2018.

 

“La Malle Courrier - Louis Vuitton et le sport”, exposition jusqu'en décembre 2024 à la Maison de famille de Louis Vuitton, 92600 Asnières-sur-Seine.

  • Bikini de Louis Réard, fin des années 1940 © Palais Galliera / Paris Musées.

  • Tenue de tennis Lucien Lelong, par Egidio Scaioni, 1925-1929 © Egidio Scaioni, Palais Galliera / Paris Musées.

  • Robe de tennis Borotra de Lucien Lelong, par Egidio Scaioni, 1925-1929 © Egidio Scaioni, Palais Galliera / Paris Musées.

  • Combinaison Sirène de Lucien Lelong, par Egidio Scaioni, 1925-1929 © Egidio Scaioni, Palais Galliera / Paris Musées.

  • Maillot Jantzen, par Henry Clarke, Vogue US, mai 1952 © Henry Clarke, Palais Galliera / Paris Musées.

  • Maillot deux pièces, par Henry Clarke, Vogue US, janvier 1955 © Henry Clarke, Palais Galliera / Paris Musées.

  • Maillot de bain Bilytis, vers 1965 © Henry Clarke Palais Galliera / Paris Musées.

  • Ensemble de plage Grès, haute couture, 1967 © Palais Galliera / Paris Musées.

  • Maillot de bain Azzaro, prêt-à-porter, vers 1975 © Palais Galliera / Paris Musées.

  • Combinaison aviateur Claude Montana, prêt-à-porter, 1983-84 © Palais Galliera / Paris Musées.

  • Maillot, Claude Montana, prêt-à-porter, vers 1988 © Palais Galliera / Paris Musées.

  • Combinaison, Alaïa, prêt-à-porter, 1992-93 © Palais Galliera / Paris Musées.

  • Ensemble, Miu Miu, prêt-à-porter, 2017 © Palais Galliera / Paris Musées.

  • Maillots de bain, par Peter Knapp, 1971 © Peter Knapp, Palais Galliera / Paris Musées.

1/14

L'exposition “La Mode en mouvement” fait son grand retour au Palais Galliera

 

Pour le second volet de son exposition “La mode en mouvement”, le Palais Galliera dévoile de nouvelles pièces explorant la place centrale du vêtement de sport dans l’histoire de la mode du 18e siècle à nos jours.

 

Parmi plus de 250 nouvelles pièces se détache notamment une section consacrée au balnéaire regroupant costumes, maillots de bain et autres accessoires de plage tels qu’un ensemble Madame Grès datant années 60, un maillot de bain Claude Montana de 1988 ou encore l’un des touts premiers bikinis imaginé par Louis Réard à la fin des années 40.

 

De l’équitation, au vélo en passant par le golf et le tennis, le musée parisien traite aussi de l'importance croissante du sport dans notre quotidien, tout comme il questionne la place des femmes au sein de cet univers. L’occasion de mieux comprendre la tendance actuelle du sportswear, ainsi que l’évolution des canons de beauté largement influencés par l'apparition des loisirs estivaux, entraînant une nouvelle exposition des corps. 

 

“La mode en mouvement#2”, exposition jusqu'au 5 janvier 2025 au Palais Galliera, Paris 16e.

  • Camille Menard © SayWho.

  • FishEye x Enzo Lefort.

  • FishEye x Enzo Lefort.

  • FishEye x Enzo Lefort.

  • “Paris se prend au jeu” à La Samaritaine.

  • “Paris se prend au jeu” à La Samaritaine.

  • “Paris se prend au jeu” à La Samaritaine.

  • “Paris se prend au jeu” à La Samaritaine.

  • “Paris se prend au jeu” à La Samaritaine.

  • “Paris se prend au jeu” à La Samaritaine.

  • “Paris se prend au jeu” à La Samaritaine.

  • “Paris se prend au jeu” à La Samaritaine.

  • “Paris se prend au jeu” à La Samaritaine.

  • “Paris se prend au jeu” à La Samaritaine.

  • “Paris se prend au jeu” à La Samaritaine.

  • “Paris se prend au jeu” à La Samaritaine.

1/16

La Samaritaine présente l'exposition “Paris se prend au jeu” 


Depuis sa création en 1870, le grand magasin La Samaritaine, idéalement situé entre la rue de Rivoli et la Seine, est indéniablement une terre fertile pour les sportifs. Pour preuve : les fondateurs Ernest Cognacq et Marie-Louise Jay avaient inauguré, dès l'année 1930, la toute première salle de sport dédiée à leurs employés. À l’occasion des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, les quelque 3 400 mètres carrés de l’enseigne se mettent ainsi au diapason à travers diverses installations rendant hommage au sport, sous toutes ses formes. 

 

Si le magazine Fisheye propose de découvrir un accrochage de photographies en prélude à la sortie du “Journal d’un Athlète”, carnet de bord intime de la préparation du fleurettiste Enzo Lefort pour les Jeux Olympiques de Paris 2024, l’artiste parisienne Camille Menard y présentera quant à elle une série d'installations artistiques et colorées, interrogeant les liens entre le sport et notre quotidien. 

 

“Samaritaine Paris se prend au jeu”, exposition jusqu'au 8 septembre 2024 à la Samaritaine, Paris 1er.

  • Affiche de 1940 © Monnaie de Paris.

  • Plaquettes commémoratives des Jeux de la XIe Olympiade © Monnaie de Paris.

  • Médaille de bronze des Jeux de la première Olympiade (Athènes, 1896) © Monnaie de Paris.

  • Médaille de participant des Jeux de la VIIIe olympiade (Paris, 1924) © Monnaie de Paris.

  • Médaille de bronze des Jeux de la VIIIe Olympiade Paris 1924 © Monnaie de Paris.

  • Médailles de bronze d’Exercices physique et sports comptant pour les Jeux de la IIe Olympiade (Paris, 1900) © Monnaie de Paris.

  • Médailles de bronze d’Exercices physique et sports comptant pour les Jeux de la IIe Olympiade (Paris, 1900) © Monnaie de Paris.

  • Médaille d’or des Jeux de la VIIIe Olympiade, Paris (1924) © Paavo Nurmi Turku.

  • Médailles d’or, d’argent et de bronze des Jeux olympiques d’hiver d’Albertville de 1992 © Studio Y. Langlois – Musée Lalique.

  • Médailles d’or, d’argent et de bronze des Jeux olympiques d’hiver d’Albertville de 1992 © Studio Y. Langlois – Musée Lalique.

1/10

Une exposition retrace l’histoire de la médaille Olympique à la Monnaie de Paris

 

Alors que les médailles d’or, d’argent et de bronze des Jeux Olympiques de Paris 2024 ont été imaginées par la maison de haute joaillerie Chaumet puis fabriquées par la Monnaie de Paris, l’institution parisienne spécialisée dans les métiers d’art liés au métal raconte au sein d'une exposition passionnante l’histoire de la médaille Olympique.

 

De la toute première médaille gravée par le Français Jules Clément Chaplain pour les Jeux d’Athènes de 1896, aux médailles en cristaux réalisées par la célèbre Maison Lalique pour les jeux d’hiver d’Albertville en 1992, l’exposition témoigne des évolutions de ce petit objet tant convoité, au fil des Jeux et des sociétés.

 

Une exposition qui souligne également le rôle majeur passé et présent de la Monnaie de Paris dans la création de ces récompenses, et présente ainsi de nombreux objets issus de ses collections historiques, pour certains dévoilés pour la première fois au public. En témoigne la médaille de bronze des Jeux de la première olympiade, dessinée à l’image des dieux Grecs.

 

“D'or, d'argent, de bronze. Une histoire de la médaille olympique”, exposition jusqu’au 22 septembre 2024 à la Monnaie de Paris, Paris 6e.

  • Speedo LZR Racer portée par Michael Phelps, 2008 © Pentland Brands © Speedo.

  • Manette Xbox Adaptive, 2018 © Xbox.

  • Manette Xbox Adaptive, 2018 © Xbox.

  • Sopras Apnea, Monofin, 2022 © SOPRAS APNEA.

  • Johann A. Kaupert, Plan du stade panathénaïque d’Athènes, 1878 © Heidelberg University Library.

  • Pierrre Coubertin, Les anneaux olympiques, 1913 © Collection privée.

  • Invader, Fauteuil roulant de rugby, 2021 © Ottobock.

  • MDR-1 Moto de course 1986 © Jo Soppa/SIRS.

  • Léon Paul, Sub Zer0, 2022 © 2024 Léon Paul London.

  • Bamboo Bicycle Club, design : James Marr, 2012 © Bamboo Bicycle Club Team.

  • Hirondelle, Superbe (modèle) 1889 © Photo d‘Hubert Genouilhac.

  • Hermès, Selle Faubourg, 2024 © Hermès.

  • Basket-ball en fauteuil roulant (Sydney) 2000 © International Paralympic Committee.

  • Ski acrobatique (Lillehammer) 1994 © International Olympic Committee.

  • Ski alpin, slalom (Grenoble) 1968 © International Olympic Committee.

  • Athlétisme paralympique (Rio de Janeiro) 2016 © International Paralympic Committee.

  • Premier prototype de brassière de sport, 1977, réplique recréé, 2024 © JogBra®.

  • Boxe (Tokyo) 1964 © International Olympic Committee.

  • Atlas, Robot humanoïde, 2018 © Boston Dynamics.

  • Sport-Thieme, Ballon pour personnes aveugles et malvoyantes, 2023 © Sport-Thieme.

  • POC Tempor, Casque de vélo de route, 2012 © POC.

  • Bamboo Bicycle Club, design : James Marr, 2012 © Bamboo Bicycle Club Team.

1/22

L'exposition “Match. Design & Sport” au musée du Luxembourg 

 

Si les innombrables musées et institutions culturelles qui peuplent la capitale harmonisent leurs programmations en présentant des expositions dédiées au sport depuis l’annonce des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, les férus de design ne seront pas en reste en découvrant l’exposition “Match. Design & Sport” au musée du Luxembourg

 

À travers la présentation de plus de 150 objets et installations, le musée du Luxembourg révèle les multiples manières par lesquelles le design a influencé – et amélioré – de manière durable le quotidien des athlètes : des casques aérodynamiques employés par les skieurs aux mailles de tissus ultra-légères présentes sur les vêtements des cyclistes. Jusqu’au 11 août prochain, les amoureux de sport pourront enfin trouver un terrain d’entente avec les passionnés de design en observant comment des matériaux, conciliant ergonomie et esthétique, peuvent dans certaines situations devenir les meilleurs alliés des sportifs. 

 

“Match. Design & Sport”, exposition jusqu’au 11 août 2024 au musée du Luxembourg, Paris 6e.

  • Tirage moderne en plâtre, d'après le groupe an- tique dit des lutteurs Médicis © 2015 Musée du Louvre, dist. RMN-Grand Palais / Hervé Lewandowski.

  • Coupe à figures rouges (v. 490 av. J.-C.) © RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Tony Querrec.

  • Coupe à figures rouges (v. 490 av. J.-C.) © RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Christian Larrieu.

  • Luc-Olivier Merson, Le Soldat de Marathon (1869) © Beaux-Arts de Paris, dist. RMN-Grand Palais / image Beaux-Arts de Paris.

  • Émile Gilliéron. Plaque en plâtre représentant les deux lutteurs de l’Amphoriskos © École française d'Athènes.

  • Statuette de coureuse (v. 520-500) © The Trustees of the British Museum.

  • Timbre : 2e édition commémorative pour la Mésolympiade de 1906 © Musée de la Philatélie et des Postes, Athènes.

  • Relief en plâtre : course à pied © École française d'Athènes.

  • Trophée pour l’épreuve du marathon et autres épreuves d’athlétisme de la Mésolympiade de 1906 © Thessaloniki Olympic Museum.

  • Coupe Bréal, en argent, 1896 © Fondation Stavros Niarchos (SNF).

  • Émile Gilliéron. Couverture de l’Album commé- moratif des Jeux Olympiques d’Athènes de 1896 © Collections Musée Olympique, Lausanne.

  • Sarcophage d’enfant (face). La frise des putti athlètes (175-225ap. J.-C) © RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Gérard Blot.

  • Émile Gilliéron. Timbre : 2e édition commémorative pour la Mésolympiade de 1906 ©Musée de la Philatélie et des Postes, Athènes.

  • Euphronios, cratère à figures rouges : Héraclès et Antée (v. 515-510 av. J.-C.) © RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Stéphane Maréchalle.

1/14

Le musée du Louvre dévoile l'histoire de l’olympisme à travers une exposition inédite 

 

D’où viennent les Jeux Olympiques tels que nous les connaissons aujourd’hui ? C’est à cette question que tente de répondre le Louvre avec sa nouvelle exposition organisée jusqu’au 16 septembre 2024. Prenant comme point de départ les concours originels de la Grèce antique, le musée retrace le parcours de pensée d’un certain nombre d’historiens, d’archéologues et de scientifiques de l’époque moderne ayant abouti à l’olympisme.

 

Bien que notre vision actuelle des Jeux soit relativement différente de celle que les grecs pouvaient avoir, l'événement n'a rien perdu de l'aspect fédérateur qui le caractérise et possède encore aujourd'hui des symboliques similaires au passé.

 

Regroupant tableaux, trophées, sculptures, timbres et affiches, l'exposition montre comment certaines iconographies actuelles ont été calquées sur l'antique et présente également des objets rares, à l'image de la toute première coupe olympique en argent dite coupe Bréal, conçue en 1896.

 

“L'olympisme. Une invention moderne, un héritage antique” exposition jusqu'au 16 septembre 2024 au musée du Louvre, Paris 1er.

  • “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée.

  • “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée.

  • “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée.

  • “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée.

  • “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée.

  • “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée.

  • “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée.

  • “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée.

  • “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée.

  • “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée.

  • “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée.

  • “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée.

  • “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée.

  • “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée.

  • “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée.

  • “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée.

  • “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée.

  • “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée.

  • “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée.

  • “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée.

  • “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée.

  • “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée.

  • “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée.

  • “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée.

  • “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée.

  • “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée.

1/26

L'exposition “Olympisme, une histoire du monde” au Palais de la Porte Dorée

 

Au Palais de la Porte Dorée, le sport s’expose sous son versant social et géopolitique. Du 26 avril au 8 septembre prochain, l’exposition “Olympisme, une histoire du monde” propose de retracer plus de 130 années de mutations politiques, sociales et culturelles depuis la création des Jeux Olympiques modernes en 1896.

 

À travers la présentation d’archives et de portraits d’athlètes aux destins fascinants, l’espace situé dans le 12e arrondissement de la capitale rend compte d’une histoire ponctuée de luttes (notamment en faveur de l’égalité, contre le racisme et les discriminations), et traversée de crises politiques. Immergés dans un parcours chronologique mêlant des photographies d’époque à des films d’archives, les visiteurs découvriront les coulisses d’une trentaine d’événements sportifs internationaux, des Jeux Olympiques d’Athènes en 1896 à ceux de Paris 2024.

 

“Olympisme, une histoire du monde” exposition jusqu'au 8 septembre 2024 au Palais de la Porte Dorée, Paris 12e.

  • Stade Allianz Riviera, Nice (Alpes-Maritimes), 2010-2013 © Milène Servelle / Wilmotte & Associés Architectes.

  • Decathlon Arena stade Pierre-Mauroy, Lille (Nord), 2010-2012 © Atelier Ferret Architectures.

  • Stade de Firminy-Vert, Firminy (Loire), 1966, Le Corbusier © FLC (Fondation Le Corbusier) - ADAGP, © André Wogenscky © Pascal Lemaître / Centre des monuments nationaux.

  • Parc des Princes, détail desportiques soutenant les tribunes , 1967-1972 © Pascal Lemaître / Centre des monuments nationaux.

  • Maillot floqué numéro 10 préparé pour Kylian Mbappé pour la finale de la Coupe du monde de football 2018 à Moscou © Fédération française de football (FFF), 2018-1.6.2-570.

  • Henri Labrouste (1801-1875), architecte Amphithéâtre Flavien, dit le Colisée © Académie d’architecture, 257.1.

  • Parc Lescure, stade municipal (aujourd’hui stade Chaban- Delmas), Bordeaux (Gironde), 1933-1938 © Archives Bordeaux Métropole, AMB XVI F 98.

  • Stade de Gerland, Lyon (Rhône), 1913-1926 © Paris, Cité de l’architecture et du patrimoine, musée des Monuments français.

  • Stade olympique de Paris pour l’Exposition internationale de 1937 © Paris, Cité de l’architecture et du patrimoine, Centre d’archives d’architecture contemporaine, ENSBA, fonds Georges-Henri Pingusson.

  • Saut à la perche, réunion internationale d’athlétisme au stade olympique de Colombes, 08 juin 1952 © INSEP.

  • Stade de la Beaujoire, Nantes (Loire-Atlantique), 1980-1984 © Atelier Agopyan.

  • Parc des sports, stade-vélodrome de Marseille (Bouches-du- Rhône), 1935-1937 © Marseille, Archives municipales, 89Fi101.

  • Stade Orange Vélodrome, Marseille (Bouches-du-Rhône), 2010-2014 © Luc Boégly, photographe / SCAU Architecture.

  • Vue des tribunes à l’occasion d’un match éliminatoire de la Coupe du monde 2006, France-Irlande © Fédération Française de Football (FFF).

  • Stade Orange Vélodrome, Marseille (Bouches-du-Rhône), 2010- 2014 © Véronique Paul, photographe / SCAU Architecture.

1/15

La Cité de l’architecture célèbre le sport dans une double exposition

 

La Cité de l’architecture et du patrimoine dévoile deux expositions d’une ampleur inédite retraçant l’histoire du stade, monument phare des Jeux, et questionnant le réaménagement urbain engendré autour de cette pratique sportive.

 

Construits afin d'accueillir les compétitions sportives populaires telles que le foot ou le rugby, les stades, parfois véritables chefs-d’œuvre d’architecture, naissent au 20e siècle suite à une large démocratisation du sport. Des dessins aux maquettes en passant par des photographies d’époque, la Cité de l'architecture déroule l’évolution de ces énormes constructions, soulignant la place qu’elles occupent désormais dans l’imaginaire collectif.

 

Afin de rester dans l’esprit de la plus grande rencontre sportive du monde que sont les Jeux, la seconde exposition dévoile une nouvelle édition du concours Mini Maousse invitant cette année les étudiants à réaliser une « mini fan zone » nomade qui se déplacera en Seine-Saint-Denis. L’objectif de ce projet ? Créer un lieu de partage et faire entrer le sport dans des environnements éloignés des J.O.

 

“Il était une fois les stades” et “Mini Maousse 9. Quand la ville se prend au jeu”, expositions jusqu'au 16 septembre 2024 à la Cité de l'architecture et du patrimoine, Paris 16e.

  • Su-Mei Tse, Das wohltemperierte Klavier, 2001 © Su-Mei Tse Collection FRAC Lorraine.

  • Jennifer Douzenel, Blink, 2017 © Jennifer Douzenel.

  • Anne-Lise Coste, For a new Thelma and Louise, 2020 © Anne-Lise Coste. Courtesy Ellen de Bruijne Projects.

  • Margaret Salmon, Bird, 2016 © Margaret Salmon.

  • Simon Faithfull, Going Nowhere 2, 2011 © Simon Faithfull.

1/5

Le programme Art et Sport envahit les établissements sportifs français 

 

Importer l’art contemporain dans des lieux traditionnellement destinés à accueillir des athlètes (piscine, stade de football, courts de tennis), tel est le pari lancé par la manifestation Art & Sport, à l’initiative de l’opérateur culturel GrandPalaisRMN. Afin d’établir des ponts entre le milieu de l’art et celui du sport, le programme d’envergure propose de découvrir, sur l’ensemble du territoire français, une exposition plurielle, qui s’appuie sur les vastes collections des 22 Fonds Régionaux d’Art Contemporain de France.

 

De Saint-Brieuc à Marseille en passant par Paris, les visiteurs pourront se laisser surprendre par des œuvres imaginées par des artistes émergents et confirmés tels que Daniel Firman ou encore Mohamed Bourouissa, mêlant à la fois le médium de la vidéo à celui de la sculpture. Autant de raisons excitantes de découvrir un parcours hors-les-murs – et pour la plupart loin du tumulte parisien –, exportant les multiples supports traditionnellement associés à l’art contemporain dans un cadre inédit.

 

“Art et Sport”, programme à découvrir du 1er mai au 1er novembre 2024 dans 13 régions de France.

  • Costume de débouleuse de Philippe Guillotel porté lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques d’hiver, Albertville, 1992 © CNCS.

  • Costume de débouleuse de Philippe Guillotel porté lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques d’hiver, Albertville, 1992 © CNCS.

  • Costume du musicien bizarre de Philippe Guillotel porté lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques d’hiver, Albertville, 1992 © CNCS.

  • Costume de danseuse de Philippe Guillotel porté lors de la cérémonie de clôture des Jeux olympiques d'hiver, Albertville, 1992 © CNCS.

  • Costume de danseuse de Philippe Guillotel porté lors de la cérémonie de clôture des Jeux olympiques d'hiver, Albertville, 1992 © CNCS.

  • Costume de microbe de Philippe Guillotel porté lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques d’hiver, Albertville, 1992 © CNCS.

  • "Solo", danseur Philippe Decouflé, création 2003 © Laurent Philippe.

  • "Sombrero", costumes de Philippe Guillotel et Jean Malo, création 2006 © Laurent Philippe.

  • "Panorama", costumes de Philippe Guillotel (extrait de Codex), création 2012 © Laurent Philippe.

  • "Tricodex", costumes de Philippe Guillotel, Ballet de l’Opéra national de Lyon, création 2003 © Laurent Philippe.

  • "Tricodex", costumes de Philippe Guillotel, Ballet de l’Opéra national de Lyon, création 2003 © Laurent Philippe.

  • "Octopus", costume de Charlie le Mindu, Théâtre National de Bretagne, 2010 © Laurent Philippe.

  • "Shazam !", costumes de Philippe Guilllotel, création 1998. Danseurs Christophe Salengro et Alexandra Naudet © Laurent Philippe.

  • "Octopus", costumes de Jean Malo, création 2010 © Laurent Philippe.

1/14

Le chorégraphe Philippe Découflé mis à l’honneur au CNCS de Moulins 

 

Il y a plus de 30 ans se déroulaient les J.O. d’Albertville en Savoie, dont la cérémonie d’ouverture baroque et avant gardiste, regardée par près de deux milliards de téléspectateurs, a marqué à jamais les esprits. Parés de costumes signés Philippe Guillotel, plus de 3 000 artistes ont participé à ce spectacle de deux heures, orchestré par le talentueux chorégraphe et danseur Philippe Découflé

 

En plus de retracer la carrière de ce dernier sur quatre décennies, notamment à travers plus de 100 costumes, le Centre national du costume et de la scène dédie une partie de l'exposition “Planète(s) Découflé” à ces inoubliables Jeux d'Albertville. 

 

D’un ballet aérien féérique réalisé par des acrobates déguisés en oiseaux à une parade d’échassiers en costumes blancs et rouges en passant par une valse de patineurs vêtus de combinaisons dorées, la cérémonie d'ouverture de 1992, imaginée par Philippe Guilotel et Phillipe Découflé et inspirée des arts du cirque et des arts forains ouvre la voie à une fusion avant-gardiste entre les arts et le sport.

 

Une alliance de disciplines, qui a ainsi infusé l'esprit des futures éditions des Jeux Olympiques, jusqu'à s'immiscer dans la mise en place de Paris 2024, qui organise depuis plusieurs semaines déjà de nombreuses expositions dans ce même but d’unir art et sport. En tout cas, on espère que la future cérémonie d’ouverture, prévue sur la Seine le 26 juillet 2024, sera à la hauteur des promesses et des attentes. 

 

“Planète(s) Découflé”, exposition jusqu’au 5 janvier 2025 au Centre national du costume et de la scène, Moulins 03000.

  • Vue de l'exposition The Art of Olympics © Andreas Gursky, VG Bild-Kunst, Bonn, Germany Photo: Thomas Lannes Courtesy Gagosian.

  • Vue de l'exposition The Art of Olympics ©︎2023 Takashi Murakami/Kaikai Kiki Co., Ltd. All Rights Reserved; © Marc Newson Photo: Thomas Lannes Courtesy Gagosian.

  • Marc Newson, "Black Surfboard" (2017) © Marc Newson Photo: Rob McKeever Courtesy Gagosian.

  • Vue de l'exposition The Art of Olympics © Marc Newson; © Andreas Gursky, VG Bild-Kunst, Bonn, Germany Photo: Thomas Lannes Courtesy Gagosian.

  • Christo, "Running Fence" (1974) © Christo and Jeanne-Claude Foundation Photo: Annik Wetter Courtesy Gagosian.

  • Andreas Gursky, "Amsterdam, Arena I" (2000) © Andreas Gursky, VG Bild-Kunst, Bonn, Germany Courtesy Gagosian.

  • Howard Hodgkin, "Swimming" (2011) © The Estate of Howard Hodgkin. All rights reserved, DACS/Artimage 2024 Photo: © International Olympic Committee. All rights reserved. Courtesy Olympic Museum, Lausanne, Switzerland.

  • Jonas Wood, "Scholl Canyon" (2017) © Jonas Wood Photo: Lucy Dawkins Courtesy Gagosian.

  • Takashi Murakami, "Shooting Game: Landscape of My Youth" (2023) ©︎2023 Takashi Murakami/Kaikai Kiki Co., Ltd. All Rights Reserved. Photo: Kei Okano Courtesy Gagosian.

  • Robert Rauschenberg, "Star in Motion" (1982) © Robert Rauschenberg Foundation / Adagp, Paris, 2024 Photo: © International Olympic Committee. All rights reserved. Courtesy Olympic Museum, Lausanne, Switzerland.

  • Rachel Whiteread, "LOndOn 2O12" (2011) © Rachel Whiteread Photo: © International Olympic Committee. All rights reserved. Courtesy Olympic Museum, Lausanne, Switzerland.

1/11